ULM RANS COYOTE retour page d'accueui Coyote construction crash n° 1 crash n°2
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En
1996, j'ai présenté mon Coyote à Henri
Giraud et Marcel Collot. « Ebrard, c'est à vous cette machine ? Vous êtes un homme mort. ! » m'a dit Giraud, avec sa façon d'avoir des avis tranchants : Ouf ! dur à entendre. Il faut dire que comparativement à un Mousquetaire ou même à un Jodel 113, le Coyote avec son train en tubes malingres et son aspect très léger pouvait donner lieu à des craintes quant à sa capacité à subir les turbulences en montagne et les chocs sur le train d'atterrissage dans la neige irrégulière des glaciers. Cependant, pour ce qui est des turbulences, tout comme le Skyranger que j'aurai plus tard, il était autorisé à +6 G/ -6 G, plus que les Jodels et bien d'autres avions. Je ferai la démonstration avec lui, et le Skyranger ensuite, que l'ULM a toute sa place en montagne et ils sont nombreux aujourd'hui. Par précaution quand j'aurai le Skyranger, je ferai quand même renforcer le train, ce qui n'était pas possible avec le Coyote.
Avec les variétés de neige que l'on
peut rencontrer, c'était un pari, |
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Non,
Philippe ne préparait pas une reconversion, |
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